Son tissulaire et musicothérapie au pied du Mont des Cats.

Musicothérapie et son tissulaire – séances individuelles adultes

Musicothérapie réceptive : pour l’équilibre et la relaxation dynamique

La musicothérapie a fait ses preuves dans le soulagement de l’anxiété, la gestion de la douleur (y compris dans des cas extrêmes), les problèmes de communication. Tout “stress” ou mal-être est influencé favorablement. La spécificité de notre méthode est d’utiliser le son tissulaire (ou son osseux) : l’oreille n’est pas le seul organe de l’audition. Le son tissulaire ajoute à l’écoute aérienne l’écoute “foetale”. Pour plus de détails voir ci-dessous. Nous choisirons ensemble les sons et musiques qui vous conviennent.

  • Plus qu'une relaxothérapie, une méthode pour l'équilibre global.

Vous pouvez si vous le désirez apporter un ou plusieurs CD favoris. Il est préférable que l’enregistrement soit bien réalisé. En partant de vos goûts personnels nous effectuerons une sélection de musiques pour vous emmener en douceur dans un état de relaxation profonde. Lors d’une première séance nous définirons vos attentes.  Pas de musiques à message car elles vous focaliseraient sur la réflexion.

Rythme des séances : de une fois par mois à une fois par semaine.

Merci de préciser dans votre message vos plages de disponibilités.

Contact : musicothérapiesonosseux@protonmail.com (Pour en savoir plus sur le son osseux voir descriptif complet en bas de page)

Travail de la voix, séances individuelles

Ces séances sont particulièrement indiquées pour

  • Les professionnels de la voix : chanteurs, comédiens, enseignants, formateurs, avocats...
  • Les personnes "qui ont du mal à se faire entendre", les personnes introverties, qui n'osent pas exprimer leur point de vue ou sont inaudibles. Ou encore pour ceux qui ne savent pas écouter, ou plutôt : entendre.
  • Les personnes atteintes de dyslexie
  • Les musiciens. Le son osseux est particulièrement actif sur l'amélioration de la sphère neuromusculaire.
Comment s’exprimer sans effort… Et être clairement entendu ?

Les professeurs de chant et orthophonistes enseignent une méthode que l’on pourrait appeler “haltérophilie du larynx et des os de la face”. Au contraire, je vous apprendrai à parler sans effort en vous servant de votre corps tout entier comme caisse de résonance. Moi-même enseignant, puis formateur, j’ai longtemps été confronté à ce défi : comment parler plusieurs heures d’affilée sans être épuisé par… le simple fait de parler ! Comment me concentrer sur l’essentiel : le contenu de l’enseignement… alors que la “sono” pompe toute l’énergie ? Même si l’on est doté d’une voix de stentor et d’une capacité pulmonaire hors norme, s’exprimer constamment “à la force du poignet” n’est pas viable. Il en résulte : aphonies, polypes sur les cordes vocales, différents troubles de la sphère ORL, épuisements, burn-outs… Toute démonstration de force a ses limites. La solution c’est de vocaliser sans effort. C’est valable pour parler comme pour chanter.

Une voix claire qui sature l’espace, ce n’est pas le résultat d’une crispation, mais au contraire d’une absence d’obstacles musculaires, respiratoires, énergétiques. Les tensions et noeuds affectent notre respiration, notre bien-être, notre santé, notre équilibre et notre voix. En réaction on se crispe sur l’effort musculaire, on “crache le son vers l’avant”.

Des exercices simples et sur mesure vous permettront de dénouer progressivement et en douceur ces noeuds, harmoniser la posture, intégrer progressivement la production du son à 360°. L’apport de l’Energétique Humaine® (la médecine chinoise, en mieux et sans aiguilles) est déterminant : tout noeud est un blocage énergétique. 

Contact : musicothérapiesonosseux@protonmail.com – 06 37 22 53 07

Séances individuelles enfants et adolescents

  • Musicothérapie réceptive : pour l'équilibre et la relaxation dynamique

La musicothérapie de façon générale a fait ses preuves dans le soulagement de l’anxiété, la gestion de la douleur (y compris dans des cas extrêmes), les problèmes de communication. Tout “stress” ou mal-être est influencé favorablement. La spécificité de notre méthode est d’utiliser le son osseux : l’oreille n’est pas le seul organe de l’audition. Le son osseux ajoute à l’écoute aérienne l’écoute “foetale”. Pour plus de détails voir ci-dessous. Le principe de ces séances est de restaurer l’écoute facilement via l’audition du son intégral.

  • Séances individuelles ENFANTS

L’expression et l’écoute sont liées et depuis 2020 les enfants ont été malmenés, pour ne pas dire massacrés, à cause notamment du port du masque. Les orthophonistes ont du mal à faire face à l’afflux de demandes tellement les problèmes d’audition et d’élocution se multiplient. En restaurant l’audition, on restaure également l’élocution. La thérapie par le son osseux sera accompagnée le cas échéants de soins énergétiques (sans aiguilles, indolore et non stressant) Le matériel utilisé est coûteux. Cela implique que les parents soient présents et que l’enfant soit gérable.

Rythme des séances : de une fois par mois à une fois par semaine.

Laissons tomber la hi-fi, choisissons plutôt la présence

Qu’est-ce que le son osseux ?

Première constatation : aucun matériel hifi même coûteux ne réussit à donner l’impression que l’instrument ou le chanteur sont dans la pièce. Un piano enregistré par des pro avec du matériel haut de gamme et restitué sur du matériel haut de gamme… reste du son “en boite”. Il y a d’excellentes boites, mais ce n’est pas la même chose que le piano dans la pièce. Il n’y a pas cette sensation de présence de l’instrument.

Deuxième constatation : certaines personnes parlent doucement et pourtant leur voix porte. D’autres doivent crier pour se faire entendre.

Explication : le squelette participe à l’audition et à la production du son. Et donc aussi les 70% d’eau contenus par le corps humain. C’est ce qu’entend le bébé pendant la grossesse : la voix de la mère se transmet par sa colonne vertébrale, tout le squelette, tous les liquides, et met en vibration le liquide amniotique. Littéralement l’enfant “entend par tout le corps” et pas seulement par les oreilles. Après la naissance le bébé ajoute à cette compétence première la capacité d’entendre aussi les sons “aériens” qui se transmettent par la pression de l’air et le pavillon de l’oreille. Si tout se passait bien on devrait conserver toute la vie la capacité d’entendre, non seulement la partie “pression de l’air”, mais aussi la partie “résonance” qui se transmet par les matériaux qui nous entourent.

Les systèmes hifi habituels produisent un son qui passera “uniquement par le pavillon de l’oreille”, alors que les instruments de musique au contraire travaillent aussi en résonance, via le système osseux. Et nous ne parlons pas des basses qui passent par le sol et les pieds, mais bien de l’intégralité des sons et de tout le corps en tant que gigantesque système  d’écoute ostéo-aquatique.

Si un violoniste joue au centre d’une pièce, en tournant autour de lui on conservera une même qualité de son : la caisse de résonance de l’instrument produit un son omnidirectionnel. Avec un système hifi, il faut se placer au croisement précis des droites sonores pour bénéficier de l’intégralité des medium et des aigus : le son de la hifi est directionnel.

Le système exclusif que nous utilisons recrée le son osseux. Les instruments sont là, à tel point qu’il n’y a pas de perte d’information si l’on change de pièce : pas d’ “effet poum-poum”, le volume diminue mais toutes les fréquences sont présentes. Le son préservé, y compris après un long couloir faisant plusieurs coudes… Comme vous pourrez le constater dans nos locaux. En réalité cette absence totale de perte de fréquences sonores est supérieure à ce que produit l’instrument en direct. Ce sont les propriétés de conduction de l’air et des matériaux du local qui sont modifiées, faisant de celui-ci tout entier un instrument de conduction du son.

Ce système sonore améliore la qualité d’un instrument présent physiquement dans les locaux, sans le dénaturer : un violon de bonne facture devient encore meilleur. Rien à voir avec les “glutamates” technologiques (loudness, ajout de graves, d’aigüs, effets sonores divers…). Ici l’instrument s’enrichit de sa propre substance, se complète en harmoniques mais par un phénomène de croissance naturelle. C’est scientifiquement inexplicable mais très net à l’écoute. Le même phénomène se produit avec les enregistrements, pourvu bien sûr qu’ils aient été correctement effectués. J’appelle “son intégral” ce saut qualitatif. Il est dû au fait que l’on combine le son directionnel, aérien, auriculaire, et le son perçu par le corps. 

Le pionnier dans l’étude méthodique du son osseux a été le Professeur Tomatis. La partie “écoute passive” de la méthode Tomatis consistait à faire entendre des sons analogiques filtrés de façon à laisser subsister des fréquences spécifiques et les alterner. Le but étant de recréer le son tel qu’entendu par le foetus, filtré par les tissus et le squelette maternels et par le liquide amniotique. Toutefois, lors de l’écoute passive, ces sons étaient restitués “par le tuyau de l’oreille”, via un casque, ce qui était très contradictoire ; et diminuait significativement l’efficacité du processus. En effet le foetus ne capte pas les sons que par l’oreille mais par tout son corps.

J’ai suivi très assidûment le cursus Tomatis, quelque part vers 1975, 1980. A l’époque Gérard Depardieu se faisait le chantre de la méthode, décrivant une cure qui avait changé sa vie.

J’ai commencé le cursus comme il se doit par des séances d‘écoute passive, plusieurs fois par semaine pendant plusieurs mois, assorties d’exercices de lecture. J’ai même fait enregistrer, non pas La Voix de Son Maître, mais la voix de ma mère, de façon à coller au plus prés de l’expérience foetale. Ne voyant aucun changement, j’ai enchaîné sur une semaine de formation à la partie active.

Dans ces séminaires, on apprenait à produire soi-même le son osseux via un positionnement spécifique du larynx et du corps. Cela impliquait un travail long et fastidieux, pour un résultat qui n’était pas donné à tout le monde. Je suis sorti de la semaine de séminaire incapable de produire le moindre son osseux et parler me fatiguait plus qu’avant le stage. J’ai supposé à l’époque que l’acquisition de nouvelles habitudes produisait une fatigue normale. Peut-être même un genre de crise curative. 

Toutefois, après plusieurs mois de pratique intensive, non seulement je n’avais pas progressé d’un iota… Mais je m’étais fabriqué de sérieux blocages vertébraux, dans mes efforts pour atteindre la “posture idéale”. 

Depuis, j’ai compris ce qui est somme toute une évidence. Chercher à mettre le corps dans telle posture, alors que des blocages l’empêchent de le faire, c’est la bonne méthode pour aggraver les blocages. Il ne faut pas viser la posture. Il faut enlever les blocages.

Cela peut se faire par l’écoute du son intégral, par de l’énergétique, et par des exercices simples et surtout “sans effets iatrogènes”. 

Nous sommes égaux dans la réception du son osseux : l’impact de celui-ci sur le système nerveux est immédiat, y compris pour les rares individus qui “n’entendent pas la différence” consciemment. Il en résulte une double action : musicothérapie classique + son osseux.

Entendre le son osseux, c’est déjà préparer son corps à le produire.

La musique met l’âme en harmonie avec tout ce qui existe.
Oscar Wilde
Écrivain